Sans être inhabituel, le simple fait que Guillaume Goy ait choisi de nous inviter pour le rencontrer est déjà à marquer d’une pierre blanche. Et, en préambule, nous dire, à Bertrand Sinais et à moi-même, qu’il souhaitait renouer avec les collectionneurs, n’était pas non plus les paroles auxquelles nous nous attendions. Du coup, l’entretien que nous avons eu avec le nouveau directeur du Musée de La Poste s’est transformé en discussion à bâtons rompus.